3eme et dernier volet du triptique qui occuppe principalement la Cie depuis bientôt 15 ans, la Fascination de l'Iceberg clôt donc un travail inspiré par le rapport de Patrick Viveret "Reconsidérer la richesse", du début du siècle. Après "Le paradoxe de l'Erika" et "Le Radeau de la Monnaie", "La Fascination..." adopte un ton plus philosophique, et une prestation scéniques enrichie dans le jeu corporel (sans aucun doute grâce à l'exellente influence du danseur chorégraphe Josias Galindo ! ). Je trouve ce parti pris particulièrement bien adapté à la conclusion du cycle.
